mardi 18 octobre 2016

Le TOUR !!!!!!!!!!!!



Lever tôt afin d'être prête à 4h30 AM pour vivre ce que j'appelle l'aventure ultime: un safari en montgolfière au lever du soleil. Après une heure et demie de route dans la savane, nous sommes arrivés au lieu d'envol.  Distribution des places, petit café et brève marche 🚶 pour arriver à notre montgolfière.

La nacelle est couchée sur le côté donc il faut y entrer couchée sur le dos de façon à être assise lorsque le ballon sera gonflé d'air et soulèvera celle ci. Déjà un défi. 

Je ne me suis quasiment pas rendue compte lors de l'envol tellement ça s'est fait en douceur. En même temps, le soleil se levait lentement et nous survolions la savane à la recherche des zèbres, buffles et autres antilopes.  Sauf lorsqu'il fallait réchauffer l'air du ballon, le silence était parfait!

Une heure à survoler la savane, admirer le déplacement des animaux, s'étonner des ombres et des lumières!

L'atterrissage a été un peu moins doux mais, somme toute, assez confortable. Par la suite, un peu de route pour arriver au petit déjeuner au champagne, récompense ultime de l'aventure!

Le reste de la journée s'est passé dans le Maasai Mara, jusqu'à la rivière Mara où quelques hippopotames se reposaient au soleil!


mardi 11 octobre 2016

Le magnifique Maasai Mara

Prendre la route au petit matin dans un pays inconnu est une expérience à vivre au moins une fois dans sa vie. Tout est surprenant: la circulation, voir des animaux de "zoo" en plein presque centre ville de Nairobi, traverser la magnifique vallée du Rift, faille qui part de la Mer Rouge en Égypte pour se terminer au Mozambique, arriver dans la réserve du Maasai Mara tout en observant zèbres et girafes avec une joie comme on en ressent enfant devant quelque chose qui nous dépasse. 

Puis, il y a l'installation au Lodge, le repas du midi et un peu de repos et hop! Premier safari d'observation d'animaux dans leur savane magnifique. D'abord, rencontre avec deux lionnes et deux jeunes. Ils sont heureux et ils se roulent dans la savane. Pourquoi? Au détour d'un arbuste, on découvre un buffle mort depuis deux jours! Heureux celui qui peut manger 😀 !

Ensuite on a vu des gazelles, des zèbres et des girafes. 

Et que dire des buffles et des éléphants? Ils sont gigantesques!




mardi 20 septembre 2016

Kenya, safari, montgolfière et tout...

Jambo!

Je suis partie de Québec lundi le 12 septembre pour vivre un vieux rêve: un safari en Afrique, plus précisément au Kenya!

Je suis arrivée à Nairobi, capitale du Kenya, le 13 septembre au soir. C'est spécial arriver dans un pays inconnu dans la noirceur, c'est toujours un peu impressionnant! Les formalités de visa et de récupération de bagages ont été très rapides et mon transport jusqu'à l'hôtel était efficace. J'étais dans ma chambre vers 10h00 alors que l'avion a atterri à 8h20.  

Le lendemain matin, départ à 7h00 AM pour le Maasai Mara. 




mardi 24 février 2015

De nouveau au Mali


Je suis partie de nouveau au Mali avec mes amis Henri Golan, français, et Cerise Coureau, suisse, du mercredi 4 février au dimanche 15. Voici donc l'aventure.

Départ de Popenguine le mercredi matin 4 février. Après un arrêt à l'épicerie pour faire quelques provisions, nous avons pris la route en direction de Kaolack. Nous nous sommes arrêtés pour manger au restaurant Brasero, tenu par un libanais né au Sénégal. Curieusement, j'ai déjà mangé à ce restaurant en 2008 lors d'un voyage au Sénégal avec Anne Landry et Ginette Leduc. Après de délicieuses brochettes, nous avons continué notre route jusqu'à presque Tambacounda où nous avons fait notre premier arrêt camping pour la nuit. 

Le jeudi 5, on reprend la route.  Pour passer la frontière, on doit arrêter à 5 endroits différents:  sortie du Sénégal, enregistrement de la voiture, prise de température des passagers, visa pour le Mali, montrer le tout à l'entrée du nouveau pays. On reprend la route jusqu'à notre première destination: Takoutala.

Le vendredi, on se repose, on se baigne dans le fleuve, on va saluer les gens du village. Le samedi, comme on doit reprendre un autre visa car le premier expire le 12 février, on se rend donc à Kayes. Évidemment, tout ça entraîne de nouveaux frais mais bon, on ne peut rien y faire. 

Dimanche 8, nous faisons un tour de pirogue sur le fleuve. Nous avons pu approcher les hippopotames ainsi que plusieurs espèces d'oiseaux.  En fin de journée c'est la finale de foot de la Coupe d'Afrique. Le Ghana affronte la Côte-d'Ivoire. Le tout se termine par des tirs de pénalité où, après 10 tirs de chaque côté, les gardiens font la différence: 9-8 en faveur de la Côte-d'Ivoire. 

Lundi nous partons pour Tantougi. Nous roulons sur le bitume, prenons le bac pour retraverser le fleuve, nous arrêtons pour faire quelques courses et prendre un repas et une bière. Fanta, de Takoutala, et sa petite-fille Awa sont du voyage.  J'aime beaucoup Fanta et la petite est charmante. Nous dormons chez des amis d'Henri dans leur concession. 

Le mardi, c'est un nouveau départ, cette fois pour un endroit au bord du fleuve appelé par Henri le Club med. Nous roulons sur la piste, parmi les rochers.  Lorsque nous arrivons, on s'installe directement sur la plage et hop, dans l'eau.  Suivra l'apéro, le repas et le dodo sous 5 milliards d'étoiles.  Le lendemain, avant le départ, on retourne à l'eau et on se prépare un lunch pour le midi. 

Sur la route, on arrête manger sous la voie ferrée. Puis on continue pour s'installer près d'un village pour la nuit. Les gens sont super sympathiques, ils nous invitent à prendre le thé, nous apportent du lait et de la bouillie de sorgho le lendemain matin. 

Jeudi le 12, on retourne au paradis, c'est-à-dire à Takoutala. Après un arrêt pour se baigner, un autre pour voir des chutes, on arrive dans notre petit paradis. 

Vendredi 13, Henri doit retourner à Kayes pour réparer la voiture. Cerise et moi, on se baigne et ensuite on va chez Fanta qui nous prépare un délicieux repas à base de fonio avec une sauce yassa et du poisson. 

Samedi 14 février, on reprend la route pour rentrer à la maison au Sénégal.  Cette fois, pas de problème à la frontière mais les pays ne prennent pas de chance avec l'Ebola et ils prennent la température de tout le monde.  On s'arrête pour dormir pour un dernier soir en brousse. 

Dimanche 15, après un nouvel arrêt au restaurant de Kaolack, on reprend la route pour Popenguine. Mais on décide de prendre l'apéro à la réserve de Bandia avec les singes et les crocodiles. 

J'ai adoré mon voyage même si je l'ai trouvé un peu difficile. Henri est un professionnel du voyage de ce genre et Cerise est une compagne super agréable. Et je suis heureuse de m'être fait une nouvelle amie en Fanta que je n'oublierai jamais. 

Merci la vie!!!

mercredi 2 janvier 2013

De nouveau sur les routes d'Afrique !!!

Je repars bientôt pour le Sénégal et la Tunisie.  Dans un premier temps, je serai au Sénégal où je visiterai mes amis et ma famille africaine.  Par la suite, j'irai au Forum social mondial de Tunis, à la fin du mois de mars.
Il y aura donc d'autres messages et d'autres photos.
À suivre ....

Bord de mer au Sénégal (Crédit photo Jeannette Paquet)

mercredi 15 février 2012

Woodstock à Tombouctou

Dans le désert, pendant le festival, l'écran pour visionner le film.
Sur le quai de Tombouctou en attendant le bac pour rentrer à Mopti.
Le bac (y faut pas avoir peur).

Woodstock à Tombouctou
Pendant le Festival au Désert, j’ai eu le privilège d’assister à la présentation du documentaire « Woodstock à Tombouctou ».  Ce film a été tourné avant, pendant et après le festival en 2011.
Impressionnant parce qu’à travers la préparation de la grande fête Touaregs, on nous présente des tranches de la vie de ce grand peuple du désert.  Leurs conditions de vie sont extrêmement difficiles et la présence des frontières n’aide en rien leur épanouissement.
Les Touaregs sont un peuple nomade qui vit principalement d’élevage de chameaux et du commerce du sel et de l’or.  Les frontières artificielles créées par les colonisateurs sont donc un obstacle à leur style de vie ancestral.  De plus, leurs revendications légitimes sont, au mieux, ignorées; au pire, combattues. 
Avec la fin de la guerre en Lybie, de nombreuses armes ont pris le chemin du désert et se retrouvent maintenant entre des mains pas nécessairement pacifistes.  Depuis l’automne dernier, il y a eu des enlèvements de touristes au Mali, dont à Tombouctou même.  Et il y a eu attaque de garnisons dans trois villes du nord-est du Mali après le festival.
Les immenses richesses du Sahara sont revendiquées par les grands capitalistes de ce monde, lesquels ont tout intérêts à laisser les peuples du désert s’entretuer : ce sera beaucoup plus facile de faire main basse sur les sources d’eau et de pétrole sans les Touaregs.
Le documentaire montre aussi la vie des gens le long du fleuve Niger, vie toute simple faite de pèche et d’élevage.  Après avoir passé 3 jours sur le fleuve, c’était intéressant de voir la vie de ces gens que j’avais aperçue un peu de loin.
Et le film se termine par le départ sur le bac pour traverser le fleuve, exactement ce que j’ai vécu après le festival.

mardi 14 février 2012

Toujours vivante

Je suis toujours vivante même si je suis plus silencieuse.  La raison est que je suis en village au Sénégal et que je n'ai pas d'accès internet.
Mon prochain message portera sur la situation politique des Touaregs au Mali, suite au visionnement du documentaire "Woodstock à Tombouctou" lors du Festival au désert.
Au plaisir
Isabelle